[email protected] تخبر النقابة الوطنية للفاحصين التقنيين بالمغرب أنه على الراغبيين في فرص العمل بمختلف مراكز الفحص ببعث سيرهم الذاتية على البريد الإلكتروني      



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القانون الخاص بمهنيي قطاع الفحص التقني معدل وفق مقترحات و توصيات المكتب الوطني
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المخالفات من الدرجة الثانية المعاقَب عليها بغرامة تصالحية وجزافية قدرها 500 درهم

بحلول فاتح أكتوبر من السنة الحالية، سيتم تطبيق مدونة السير التي أثارت الكثيرمن الجدل داخل البرلمان قبل المصادقة عليها. واعتبرت الحكومة أن المدونة تندرج  في إطار الاستراتيجية الحكومية المتعلِّقة بالسلامة الطرقية وترميإلى تحديث المقتضيات القانونية لمواجهة آفة حوادث السير ومواكبة التطورات والمستجَدّات المرتبطة بميادين السير والجولان في المجالات التكنولوجية والتربوية والجزائية. ومن أجل أن يعرف القارئ -السائق ما  ينتظره من إجراءات وعقوبات، نُورد بعضَ العناصر التي جاءت بها المدونة، استنادا إلى ما جاء فيها وما تَضمّنه موقع وزارة التجهيز والنقل..
 تفرض غرامة تصالحية وجزافية تقدر بـ 500 درهم في حالةارتكاب السائق للمخالفات من الدرجة الثانية التالية:



تخصيص رصيد من النقط لكل رخصة سياقة يتم تخفيضها عند ارتكاب مخالفة تستوجب ذلك

ستتوفر على 20 نقطة في الفترة الاختيارية و30 نقطة بعد سنتين

بحلول فاتح أكتوبر من السنة الحالية، سيتم تطبيق مدونة السير التي أثارت الكثير من الجدل داخل البرلمان قبل المصادقة عليها. واعتبرت الحكومة أن المدونة تندرج  في إطار الاستراتيجية الحكومية المتعلِّقة بالسلامة الطرقية وترمي إلى تحديث المقتضيات القانونية لمواجهة آفة حوادث السير ومواكبة التطورات والمستجَدّات المرتبطة بميادين السير والجولان في المجالات التكنولوجية والتربوية والجزائية. ومن أجل أن يعرف القارئ -السائق ما  ينتظره من إجراءات وعقوبات، نُورد بعضَ العناصر التي جاءت بها المدونة، استنادا إلى ما جاء فيها وما تَضمّنه موقع وزارة التجهيز والنقل..
اعتمدت مدونة السير الجديدة على مفهوم رخصة السياقة بالنقط، إذ يتم تخصيص رصيد من النقط لكل رخصة سياقة، فيتم تخفيضها إذا ارتكب صاحب الرخصة مخالفة تستوجب خصم النقط.

وأقرَّت مدونة السير نظاما لاسترجاع النقط المسحوبة إذا احترم صاحب رخصة السياقة بعض القواعد،كما تلغى رخصة السياقة عند نفاد رصيد النقط المُخصَّص لها.



Nouveau code de la route : à un mois de l'entrée en vigueur, plusieurs questions restent en suspens

 

Écrit par Jadarmi   

30-08-2010

 

 

De quelle manière s'exercera le contrôle sur les routes ?

Pourra-t-on payer par chèque ? & Quid des personnes qui n'ont pas de permis à points ?

Qui assurera la formation des nouveaux conducteurs professionnels et des anciens ?

Le ministère du transport n'apporte pas de réponses.

 

 

Si tout va bien, le nouveau code de la route va entrer en vigueur le 1er octobre prochain. Une campagne de communication est menée depuis plusieurs semaines sur les chaînes de radios et de télévision pour sensibiliser le grand public aux dispositions de ce code. Mais cette campagne de communication laisse un arrière-goût d’inachevé puisque à un mois du début de l’application de ce texte, les autres moyens de vulgarisation (affichage urbain, imprimés, annonces presse etc.), prévus pourtant dans la stratégie du ministère, sont peu ou pas encore utilisés. En gros, entend-on, ici et là, la campagne actuelle ne touche pas un large public et devrait, selon un syndicaliste, «être de grande envergure pour sensibiliser tous les Marocains, y compris dans les campagnes les plus reculées, chose que l’on ne voit pas encore».


Au-delà de la sensibilisation du grand public, c’est la mise en application des dispositions du code, particulièrement en ce qui concerne les transporteurs professionnels, qui laisse à désirer. Les syndicats et les associations professionnelles, s’ils soutiennent pour la plupart l’application de ce texte de loi, affirment rester sur leur faim. Une source à la fédération nationale du transport routier (FNTR) explique que cette dernière a tenté à maintes reprises d’apporter sa contribution à cette campagne, notamment sur les aspects qui touchent les conducteurs et les entreprises de transport, mais sans trouver d’écho.
Les questions qui reviennent le plus souvent à la veille de l’application de ce texte concernent principalement le contrôle, le permis à points et les dispositions relatives à la conduite professionnelle. Ces points constituent, selon Abellilah Hifdi, président de la FNTR, «l’épine dorsale de ce texte que nous soutenons depuis le début et que nous continuons de soutenir». Selon lui, le problème ne réside pas dans les dispositions du texte de loi qui arrive à un moment où les secteurs du transport et de la logistique connaissent de grands chamboulements, mais dans son applicabilité. Selon M. Hifdi, l’application de ce texte va s’avérer très difficile.


Changer son permis coûte près de 500 DH

Beaucoup de professionnels, en effet, partagent cette idée et posent les questions qui ne trouvent pas encore de réponse. D’abord au niveau du contrôle : théoriquement à partir du 1er octobre, les conducteurs seront soumis à un contrôle plus rigoureux, voire plus sévère, mais faisant appel à des technologies nouvelles (radars, terminaux pour permis électroniques, réglementation des lieux de contrôles et identification des agents de contrôle). Or, à l’heure actuelle, personne ne dispose d’informations ni sur la manière, ni sur le matériel qui servira à ce contrôle. Et comme le précise un transporteur, «à moins que le ministère ne dispose d’une stratégie cachée qui sera dévoilée à la dernière minute, on ne voit pas comment le contrôle se déroulera sur le terrain».


Et qui dit contrôle, dit amendes. Et à ce sujet, dans la mesure où le nouveau code de la route accepte tous les modes de paiement, les usagers contrevenants pourront-ils payer leur amende transactionnelles par chèque ou carte bancaire ? Ou alors les agents vont-ils continuer à exiger le paiement en espèces, ce qui ne va pas éliminer les marchandages et autres transactions illicites.


Mais le gros problème auquel les professionnels du transport n’ont pas encore de réponse, c’est celui de la carte professionnelle, obligatoire en plus du permis, pour les conducteurs de poids lourds.
A partir du 1er octobre, tous les nouveaux détenteurs de permis poids lourds ne pourront pas, comme c’était le cas avant, conduire un véhicule s’ils n’ont pas suivi une formation qui leur donne accès à cette profession. Sur ce chapitre, les transporteurs affirment n’avoir aucune visibilité. En effet, se demandent-ils, qui va assurer cette formation et par quels moyens humain et matériel et comment cette carte professionnelle sera-t-elle conçue ? Autant de questions qui restent sans réponse. Et ceci sans parler des conducteurs en exercice qui devront au bout de cinq ans d’activité suivre une formation. Là encore, les éléments de réponse font défaut.


Enfin, s’agissant du permis à points, et là, cela concerne également les conducteurs particuliers, on se demande comment va se faire la transition entre l’ancien et le nouveau permis, comment et par quels canaux seront inscrits les points sur les anciens documents. D’autre part, comment un simple conducteur contrevenant pourra-t-il récupérer les points perdus après avoir suivi une formation de sensibilisation sur les accidents de la route. Du reste, peu de titulaires d’anciens permis de conduire ont changé leur ancienne licence de conduite contre un permis à puce pour la simple raison que l’opération n’est pas gratuite et coûte autour de 500 DH. Beaucoup de questions auxquelles nous avons tenté d’avoir des réponses de la part du ministère du transport et du Comité national de prévention des accidents de la circulation. Pas de réponse pour le moment. Pourtant le 1er octobre c’est dans un mois…

 

source : la vie eco  



La dématérialisation des PV débute avec le code de la route

 

Écrit par Jadarmi   

28-08-2010

 

 

Le ministère de la Justice entreprend une nouvelle opération dans le cadre de la modernisation de la justice. Faisant partie de la « Stratégie nationale pour la société de l'information et de l'économie numérique, Maroc Numeric 2013 », cette opération est baptisée « Dématérialisation des processus associés aux procès-verbaux ».
Ce projet fait partie des 89 projets lancés dans le cadre du programme e-gouvernement piloté par le ministère de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies.

 


A travers ce projet, le ministère de la Justice a pour ambition de dématérialiser tout le processus associé aux procès verbaux. C'est-à-dire depuis la rédaction du PV jusqu'à la décision finale du parquet général. Processus qui a lieu entre les tribunaux de première instance et les cours d'appels, d'une part, et les officiers verbalisateurs d'autre part. De la sorte, sont parties prenantes dans ce projet toutes les institutions qui ont des agents ou officiers verbalisateurs. Il s'agit, nous explique Elkabir Benaissa, chef de service de la modernisation de la gestion administrative au ministère de la Justice, du ministère de la Justice (chef du projet), de la Gendarmerie royale, de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), du ministère de l'Equipement, des eaux et forêts, de l'administration des douanes, du département de la Pêche maritime, du département de l'Environnement, de la division de la fraude…

Ce projet qui a démarré en juin dernier devrait être généralisé sur l'ensemble du territoire national en 2013. Le ministère a commencé par la réalisation d'une enquête dans ce sens ciblant la ville de Kénitra qui a permis de relever que les relations entre le parquet et l'ensemble des officiers verbalisateurs se matérialisent par un nombre important de procès verbaux et de documents annexes. « Il est question de 400 à 700 procès verbaux par jour dans une petite ville comme Kénitra », précise Elkabir Benaissa.
C'est ce qui a poussé le ministère à miser sur un tel projet pour dématérialiser le processus des PV. Ainsi, ce projet comprend la mise en place d'un système intégré de gestion des processus associés au traitement de ces documents.

Il s'agit de la dématérialisation des procès verbaux et des documents annexes en s'appuyant sur la signature électronique. Il prévoit la mise en place d'une solution d'éditique (ensemble des outils, services et moyens informatiques appliqués à l'édition de documents) pour la génération automatique des documents.
La réalisation d'un tel projet devrait permettre d'avoir un outil de pilotage stratégique de l'action du parquet général, réduire les délais et les coûts de transmission, de traitement et d'archivage des PV et documents annexes et aussi simplifier l'accès aux procès verbaux et aux autres documents annexes.
Dans son action, le ministère de la Justice prévoyait de commencer par la dématérialisation du processus sur un périmètre pilote de procès verbaux et le déploiement d'abord sur les tribunaux de Kénitra puis ceux de Fès et Marrakech, ensuite Rabat et Agadir. Et ce, avant de passer à la dématérialisation progressive sur l'ensemble des types de procès verbaux et sur l'ensemble du territoire.

Or, pour le moment le ministère de la Justice a jugé opportun de travailler sur un autre projet pilote en partenariat avec le ministère de l'Equipement et du transport. En effet, étant donné que le nouveau code de la route entre en application en octobre prochain, les deux ministères travaillent d'arrache pied pour que, dès octobre, l'opération de la dématérialisation des PV relatifs au code de la route soit possible. « Les procès signalés par radar ou autre vont être centralisés dans un serveur du ministère de l'Equipement puis dans celui du ministère de la Justice…», nous explique Elkabir Benaissa. Ainsi, cette opération pilote représente la clé de la réussite de tout le projet de la dématérialisation des procès verbaux.

Enquête
Le ministère de la Justice a réalisé une enquête ciblant la ville de Kénitra qui a permis de relever que les relations entre le parquet et l'ensemble des officiers verbalisateurs se matérialisent par un nombre important de procès verbaux et de documents annexes.
Il est question, en moyenne, de 400 PV par jour pour une ville comme Kénitra.
L'enquête révèle que l'utilisation du support papier engendre des délais de transmission importants et une utilisation lourde et difficile. Cela demande en moyenne dix jours de charge associée à l'échange manuel de documents sur 30 jours de délai moyen global de traitement d'un PV.

S'ajoute à cela la lourdeur des circuits internes au niveau des tribunaux jusqu'à la prise en charge par le parquet général.
En plus de cela, l'absence de système informatique ne permet pas d'avoir une vision globale sur les affaires traitées (recoupement, analyse stratégique, statistiques...).
      
      
      
      
 Repères
Agenda
    
La dématérialisation des procès verbaux devra concerner en 2011 cinq villes et un seul type de PV. En 2012 il sera question de huit villes et quatre types de PV. C'est en 2013 que ce sera généralisé sur l'ensemble du territoire concernant tous les types de PV.
Taux de satisfaction
Le projet de la dématérialisation des procès verbaux devra aboutir, en 2013, à un taux de satisfaction de l'ordre de 90 % auprès des usagers des PV. Ceci permettra aussi de réduire le temps global de traitement des dossiers de moins de 60 %.

 

source : le matin  



الداخلية تقاضي وزارة التجهيز بسبب أشغال الطريق السيار الرابط بين تازة ووجدة

 

 

الخبر ..

مستشارون جماعيون يتهمون الوزارة بـ«التحايل» ويهددون بالعودة إلى أراضيهم المنزوعة

وجد ممثل وزارة التجهيز بعمالة مولاي يعقوب نفسه في وضعية صعبة وهو يجلس، صباح يوم الجمعة الماضي، قبالة ما يقرب من 29 مستشارا بجماعة عين الشقف القروية بضواحي فاس،ليجيب عن أسئلة تتعلق بأسباب تأخر صرف التعويضات لفائدة فلاحي البلدة ممن «أجهزت» الطريق السيار الرابطة بين تازة ووجدة على أجزاء من أراضيهم منذ حوالي 4 سنوات.

فقد أشار هذا المسؤول إلى أن إدارته لا تزال تنتظر ما أسماه بـ«التعليمات» لتعويض المتضررين، مضيفا أن إجراءات نزع الملكية تم الانتهاء منها، لكن دون أن يتم الاتفاق على تقييم الأرض وتحديد ثمنها من طرف مكونات اللجنة الإقليمية. وأغضب هذا الجواب عددا من المستشارين الجماعيين الذين حضروا الجولة الثالثة من أشغال دورتهم العادية التي أثيرت فيها الكثير من الاتهامات.

وهدد أحدهم بعودة المتضررين إلى أراضيهم، فيما لم يتردد مستشار آخر في اتهام وزارة التجهيز بـ«التحايل» على القانون وعلى المواطنين الذين ظل عدد منهم يتابع أشغال هذه الجولة من دورة المجلس عبر النوافذ المطلة على القاعة التي احتضنت الاجتماع وعاشت على إيقاع فوضى لمدة تجاوزت الثلاث ساعات.

واضطر ممثل وزارة الداخلية إلى التدخل للتأكيد على أن وزارة الداخلية، ممثلة في عامل الإقليم، قد رفعت دعوى قضائية لدى المحكمة الإدارية ضد وزارة التجهيز لإرغامها على تعويض أصحاب هذه الأراضي بثمن وصف بالمناسب. وأوضح أن هذه الدعوى وصلت إلى مراحل متقدمة بعدما تم تعيين خبير للنظر في الموضوع. واضطر ممثل وزارة التجهيز إلى التزام الصمت في النهاية بعدما ظهرت عليه علامات ارتباك وتردد واضحة في مختلف أطوار الجلسة.

ولم يكتف المستشارون الغاضبون على وزارة التجهيز بهذه الانتقادات، فقد تحدث أحدهم عن تزوير محاضر تتعلق بالتعويض عن الأغراس من قبل بعض الموظفين. وقال أحدهم إن بعض الأشخاص لم تؤد لهم بعد هذه التعويضات، في وقت أكد فيه ممثل وزارة التجهيز على أن كل هذه التعويضات قد تمت تأديتها. واقترحت عمالة مولاي يعقوب على وزارة التجهيز تعويض المتضررين بـ100 درهم للمتر المربع، لكن الوزارة رفضت هذا الاقتراح وتمسكت بتعويض لم يتجاوز 70 درهما للمتر، مما أدى إلى تجميد أشغال اللجنة الإقليمية المختلطة وإحالة الملف على القضاء.

ولم تسلم مؤسسة «العمران» من انتقادات عدد من هؤلاء المستشارين، فقد اتهموها بعدم «التواصل» معهم بخصوص أشغال جارية بوسط الجماعة لإحداث تجزئات سكنية بها. وهي التهمة نفسها التي وجهت إلى السلطات الإدارية. ونفى ممثل وزارة الداخلية هذه الاتهامات، موردا أن الجماعة تتوصل بجميع المراسلات الخاصة بالاجتماعات التي تعقد لمتابعة هذه الأشغال. ووصل به الغضب حد اتهامه للأغلبية داخل المجلس بعدم انشغالها بقضايا المواطنين، وعدم توفرها حتى على جهاز فاكس لاستقبال المراسلات.

وانتقد بعض المستشارين تأخر تعويضات تتعلق بتفويت حوالي 128 هكتارا من الأراضي السلالية إلى شركة «هولسيم»، في حين رد مسؤول وزارة الداخلية بأن هذه التعويضات قد تم الحسم في أمرها، مرجعا التأخر إلى عدم تفعيل الجماعة لمساطر التوصل بهذه التعويضات.

وشهدت هذه الدورة العادية، التي عقدت في ثلاث جولات، صراعات مريرة بين قطبين بها ينتميان إلى حزب الأصالة والمعاصرة، وتقررت في الجولة الأخيرة من الصراع بين جواد الدواحي، رئيس الجماعة، (وهو عضو بمجلس النواب)، وحسن بلمقدم، (وهو مستشار بالغرفة الثانية)، إحالة الملف على المحكمة الإدارية بعدما رفضت السلطات الإدارية الاستجابة لطلب إقالة المستشار البرلماني بلمقدم من رئاسة لجنة المالية بالجماعة لعدم إيراد مبررات معقولة لهذا القرار.

وطلب رئيس الجماعة وأنصاره من السلطات الإدارية، في الجولة الثانية من الصراع، إحضار صناديق الاقتراع للتصويت على قرار الإقالة، لكن ممثل وزارة الداخلية لم يلب الطلب إبان انعقاد الجولة الثالثة.

وفي الوقت الذي يتهم فيه الرئيس ومقربوه رئيس لجنة المالية بـ«تجميد» مبادرات المجلس عبر رفضه التوقيع على عدد من الوثائق، وذلك بالإضافة إلى انتقاده بسبب علاقات «تعاون» يربطها مع عامل الإقليم، يؤكد رئيس هذه اللجنة أن تحريك إقالته يرتبط برفضه تحويل ميزانية هذه الجماعة إلى مجال للتلاعب.

alkhabar.tv لحسن والنيعام
الخميس 22 يوليوز 2010

 

 



مصرع ثمانية أشخاص في حادثة سير شمال العيون

هسبريس - و م ع

Thursday, July 08, 2010

لقي ثمانية أشخاص مصرعهم وأصيب شخص آخر بجروح خطيرة في حادثة سير وقعت مساء أول أمس الاثنين على بعد 35 كلم شمال مدينة العيون.

 

وأفادت مصالح الوقاية المدنية بالعيون بأن حادثة السير وقعت على إثر اصطدام بين شاحنتين، إحداهما متوجهة نحو مدينة العيون والأخرى كانت تسير في الاتجاه المعاكس ،مما أدى الى اندلاع النيران في الشاحنتين وتفحم جثث الضحايا.

 

وفور علمها بالحادث ،هرعت السلطات المختصة إلى عين المكان حيث تم نقل المصاب إلى مستشفى مولاي الحسن بالمهدي لتلقي العلاج فيما تم إيداع القتلى بمستودع الأموات.

 

هذا ويشهد فصل الصيف تسجيل أكبر معدل لحوادث السير ، ففي شهر يوليو الماضي ، وقعت 6812 حادثة وهو ما يمثل زيادة بـ 1033 حادثة سير عن المتوسط الشهري، كما شهد شهر يوليو تسجيل أكبر عدد من القتلى بـ 417 قتيلا، وهو ما يمثل زيادة بـ 88 قتيلا عن المتوسط الشهري خلال سنة 2009.

 

وخلفت حوادث السير بالمغرب خلال السنة الماضية نحو 4000 قتيلا و103 آلاف جريح، 12 ألفا منهم إصاباتهم بليغة، وسجلت هذه الحوادث ارتفاعات مقلقة حيث ارتفع عدد القتلى بنسبة 6.45 % بينما ارتفعت نسبة الحوادث 18.67 %، مقارنة مع المعدل المسجل في السنوات الماضية.



 
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