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Visite technique automobile : Enfin des contrôles crédibles |
Le secteur de la visite technique, dont on a longtemps dénoncé le laxisme favorisant la multiplication des accidents de la route, entame enfin sa révolution. Il faut dire que l’arrivée de deux opérateurs internationaux, l’allemand Dekra et le suisse SGS, qui seront opérationnels dans moins d’un an, va changer la donne. Les deux opérateurs se sont engagés à construire pour le premier 37 centres avec une centaine de lignes de contrôle et pour le second 40 centres avec 118 lignes aux standards internationaux. Le tout pour un investissement total dépassant le milliard de dirhams avec, à la clé, la création d’un total de 1.233 emplois directs sur cinq ans.
La visite passe à 200 DH
A l’origine de ce programme, des opérations d’audit par le Centre national d’essais et d’homologation (CNEH) des Centres de visite technique (CVT). Sur les 184 existants au Maroc, aucun n’avait été jugé conforme. Un délai de six mois leur avait alors été accordé pour se mettre aux normes. Au bout de ce délai, le tiers des CVT s’était remis à niveau, un tiers s’était conformé mais seulement pour les voitures légères et un tiers avait été fermé.
Signalons que, depuis décembre 2006, un autre cahier des charges introduisant de nouveaux critères a été mis au point. Il porte, entre autres obligations, sur l’utilisation de l’informatique pour assurer la traçabilité de la visite subie par le véhicule, avec identification du centre, de l’agent visiteur, etc. Des données destinées à être transférées en temps réel au CNEH. Un manuel détaillant les contrôles et codifiant les défaillances techniques des véhicules est par ailleurs en cours d’élaboration pour standardiser les contrôles.
En outre, les CVT ont été autorisés, et même encouragés à se regrouper en réseaux d’une taille minimale de 30, soit 75 lignes de contrôle, avec un réseau informatique contrôlé et piloté par le CNEH. Les deux opérateurs internationaux peuvent prendre sous leurs ailes les centres qui se seraient conformés aux normes et leur donner leur label.
Sur le plan des ressources humaines, un changement également. Chaque CVT a dû recruter un chef de centre qualifié et responsable, et subissant chaque année une formation continue suivant un cursus validé par le CNEH.
Enfin, les prix des prestations des contrôles techniques ont été révisés : 200 DH pour les véhicules de moins de 3,5 tonnes, 350 DH pour les moins de 15 tonnes et 400 DH pour les plus de 15 tonnes et les autocars.
28 novembre 2007 La vie éco - M.M.
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Contrôle technique automobile, Le «business-plan» de Dekra |
90 centres ralliés à l’enseigne internationale
Le Maroc, une plateforme d’expansion vers le Maghreb et l’Afrique
Le groupe allemand Dekra, leader mondial du contrôle technique automobile, est implanté au Maroc depuis juin 2007. La société devra participer à la mise à niveau du contrôle technique des véhicules en créant ses propres centres et en proposant à ceux déjà existants le rattachement à son enseigne. Déjà 90 centres se sont ralliés à Dekra. Un premier centre en propre sera ouvert au courant de ce mois de mars. Et c’est à l’occasion de l’ouverture de son premier centre à Casablanca que la filiale marocaine a accueilli le PDG du groupe, Klaus Schmidt.
- Quels critères ont permis la réussite du groupe, aujourd’hui leader mondial, dans le contrôle technique automobile?
- Klaus Schmidt: Au-delà du contrôle technique qui reste le cœur de notre métier, nous développons plusieurs activités, notamment le conseil qualité, l’accompagnement certification et la formation, ce qui fait de nous un groupe aux compétences multiples. Mais surtout, si nous sommes devenu n°1 mondial, c’est parce que le partenariat qui nous unit aux dirigeants de centres se base sur la confiance, le respect et la transparence. Nous cherchons à être partenaire, dans le respect de nos procédures de contrôle et non à imposer une nouvelle culture. Nous abordons une politique de proximité avec nos clients, pour être à l’écoute de leurs attentes. Notre présence dans 28 pays permet de fortes synergies et des échanges d’expériences, ce qui nous permet d’être en avance en matière d’innovation et de propositions sur le marché. Et c’est cette expertise que nous pouvons apporter au secteur du contrôle technique au Maroc. - Qu’est-ce qui a motivé la venue du groupe au Maroc?
- Nous croyons au potentiel de développement du pays. Tout est encore à faire en termes de mise à niveau du contrôle technique, mais également en matière de protection de l’environnement. Le mauvais état d’un véhicule n’est pas l’unique cause d’accidents, mais cela peut être un facteur aggravant.
Notre action accompagne la réforme entreprise par le ministère de l’Equipement et du Transport qui nous appuie dans le sens de l’optimisation de la sécurité routière. Notre implantation au Maroc s’inscrit dans le cadre de notre stratégie d’expansion. Le Maroc constitue le 2e marché du groupe en Afrique, après l’Afrique du Sud. Le développement de notre filiale au Maroc est un véritable challenge pour le groupe puisqu’il peut tenir lieu de modèle pour son développement dans d’autres pays du Maghreb et de l’Afrique.
- Quelles sont les perspectives du groupe au Maroc?
- Nous comptons à terme développer notre réseau en propre jusqu’à environ 60 centres pour un investissement de 400 millions de DH en fonction des possibilités du marché. Et par la suite, nous comptons développer d’autres activités dans le domaine de la certification qualité, le contrôle technique industriel et la formation pour répondre à des besoins croissants de rationalisation et d’optimisation dans les secteurs de l’industrie et des services du pays.
2.700 centres et 30.000 garages
Le groupe Dekra, c’est 20 millions de visites techniques par an, au sein de 2.700 centres de contrôle, ralliés et en propre, et de plus de 30.000 garages. La première activité du groupe reste le contrôle technique automobile représentant plus de 60% de son chiffre d’affaires global, évalué à 1,5 milliard d’euros. Fondé en 1925, il a préservé son statut d’association avec pour but principal de prévenir tout risque routier pour des raisons sociales et économiques. Avec son entité Norisko Industrial, le groupe assure dorénavant ses services dans l’industrie, l’environnement, la sécurité du travail et dans les chantiers de construction.
Source: L’Economiste - Le: 24/03/2008
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Le géant suisse SGS renforce son réseau de centres de visite technique au Maroc |
Il vient d'injecter 30 MDH dans sa filiale SGS Aman'Auto.
L'objectif est de franchir la barre de 100 centres de visite technique dès cette année.
Le leader mondial du contrôle technique, SGS, avance ses pions au Maroc. En effet, après avoir ouvert en mai 2008 son premier centre de visite technique au Maroc sous l’enseigne SGS Aman’Auto, le groupe suisse vient de renflouer à hauteur de 30 MDH sa filiale SGS Maroc Automotive qui porte cette activité. Cette recapitalisation, qui fait hisser le capital à 33 MDH, est destinée à financer la deuxième phase de déploiement de l’enseigne à travers le Royaume. Dans sa première phase de développement (2008/2009), le réseau de SGS Aman’Auto avait franchi la barre de 80 centres de visites techniques (CVT), dont une dizaine seulement détenue en propre. Mais, il y a quelques semaines, des indépendants dont des affiliés à l’autre réseau concurrent, Dekra Automotive, filiale de l’autre géant mondial du secteur, l’Allemand Dekra, avaient décidé de se regrouper au sein de Salam Réseau Maroc (cf. La Vie éco du 25 décembre 2009. www.lavieeco.com).
Du coup, dans cette deuxième phase de déploiement annoncée par la recapitalisation, le groupe suisse devrait consentir des efforts supplémentaires et développer davantage de centres détenus en propre pour franchir le cap des 100 centres de visites dès cette année et réduire l’écart de quadrillage du terrain qui le sépare de son concurrent direct Dekra Automotive Maroc.
Le groupe suisse est présent dans 140 pays
Rappelons qu’aussi bien Dekra que SGS avaient été adjudicataires en 2007 d’un appel d’offres international lancé par le ministère de l’équipement et des transports pour la sélection de deux opérateurs en réseau appelés à moderniser et assainir le métier de visites techniques dont la défaillance a été pointée du doigt comme étant une des causes directes de l’insécurité routière au Maroc.
Avec ce nouvel investissement en fonds propres, SGS Aman’Auto devient une valeur sûre du groupe SGS au Maroc. A noter que le groupe suisse est présent dans le Royaume depuis 1951 déjà, à travers SGS Maroc qui offre ses services en matière de contrôle, d’analyse laboratoire et de certification dans divers secteurs comme l’agriculture (contrôle qualité des exportations d’agrumes par exemple, importations et exportations de céréales), les mines (importations et exportations d’engrais), la chimie ou encore le transport (certification qualité de tous les aéroports marocains).
Au niveau mondial, SGS, qui est présent dans plus de 140 pays, revendique un chiffre d’affaires consolidé 2009 de 4,7 milliards de francs suisses (35,5 milliards de DH) pour un bénéfice net consolidé de 579 millions (4,4 milliards de DH)
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